THE CAMELOT CAPER, d'Elizabeth Peters
Titre original = the Camelot Caper
Auteur.e = Elizabeth Peters, littérature anglophone USA
Genre = polar/thriller, humour, archéologie, héritage, légendes arthuriennes, romance
Personnages = Jessica Tregarth ; sa tante Guenevere ; son cousin John Tregarth et son ami archéologue ; David Randall, écrivain ;
Série = Vicky Bliss, historienne d’art, détective amateure, spécialiste en art médiéval
Place dans la série = 0.5
Résumé = Jessica Tregarth, vivant aux USA, a reçu une lettre de son grand-père anglais qu’elle ne connaît pas, le grand-père et le père de Jessica s’étant vivement disputés et du coup le fils est parti s’installer aux USA, tout en emportant une bague fort ancienne – elle est priée d’amener le bague pour se faire connaître du grand-père – à peine débarquée du bateau à Southampton que les problèmes commencent = elle sait qu’elle est suivie et dans la panique son comportement devient hautement irrationnel – défendue par les personnes du car avec lequel elle part à Londres (alors qu’elle doit aller en Cornouailles), elle est déposée devant un pub où elle est censée rencontrer quelqu’un qui pourrait la conduire à Londres sans danger – pas de chance, c’est jour festif et le taxi en question n’est pas disponible –
c’en est trop pour la jeune femme, elle pète un câble et enguirlande le patron du pub – le seul client du pub est fort amusé par sa diatribe et propose de la conduire à Londres, il est écrivain et n’a rien de mieux à faire –
lorsqu’elle lui raconte son histoire, il est mort de rire, quelle imagination ! bien qu’elle se défende d’inventer cette histoire, il continue à ne pas la croire mais la dépose tout de même dans un "bed and breakfast" pour ne pas être repérée dans un hôtel – il va comprendre qu’elle ne racontait pas d’histoire lorsqu’il se fait tabasser par les poursuivants – commence alors une course poursuite à travers le sud de l’Angleterre, de Salisbury/Stonehenge à Glastonbury, enfin en Cornouailles -
Avis personnel = première erreur de ma part = m’imaginer qu’il y aurait un petit côté fantastique à cette histoire, à cause de la couverture (j’adore les licornes) – erreur suivante = m’imaginer que j’allais retrouver l’historienne d’art Vicky Bliss qui n’apparaît à AUCUN MOMENT dans cette histoire que l’on pourrait qualifier de « charmante romance avec un peu de mystère » - j’ai tout dit –
je ne me suis pas vraiment ennuyée car l y a quelques moments amusants, mais il y avait beaucoup de situations illogiques dans l’histoire – à commencer par le fait que les protagonistes, pour semer leurs poursuivants, au lieu de se rendre en Cornouailles anglaises, s’en vont à Londres, qui est à l’opposé –
et la bague dans tout cela, me direz-vous ? disparue - on n'en parle plus
l’auteure Elizabeth Peters est connue pour ses thrillers archéologiques mettant Amelia Peabody en scène, une série intéressante au point de vue archéologique, également thrillers –