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mon bonheur est dans la ville
21 mars 2011

NO SECOND CHANCE, d'Harlan Coben

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Titre français = Une Chance de Trop (vous avez bien lu = en anglais, PAS de 2ème chance, en français UNE de trop ! – traduction, que de crimes on commet en ton nom)

 

« No second chance ! » sont les mots prononcés par les kidnappeurs de la petite Tara Seidman, tout simplement parce que les ravisseurs avaient bien prévenu son papa = « interdiction de prévenir les flics ». Seulement, ils étaient déjà là dès le début, les policiers.

Depuis le jour où le docteur Marc Seidman et son épouse Monica furent trouvés baignant dans leur sang, abattus à bout portant. Marc s’en est tiré de justesse, Monica pas et leur petite fille de six mois, Tara, a disparu, c’est ce que découvre Marc en sortant du coma.

 

Les ravisseurs, connaissant la fortune considérable du père de Monica,  font parvenir une demande de rançon et préviennent le papa et le grand-père du bébé de ne pas y mêler les flics. Lorsque Marc apporte l’argent au lieu de rendez-vous, le sac comportant les billets de la rançon est emporté, mais Tara n’est pas rendue – et dix-huit mois plus tard, on ne trouve toujours pas de trace de l’enfant.

 

Malgré le fait qu’on tente de lui faire comprendre que peut-être l’enfant est morte elle aussi, Marc refuse de laisser tomber.

D’autant plus qu’il est dans le collimateur des flics pour le meurtre de Monica, abattue avec l’arme que le docteur Seidman possédait en toute légalité. Son meilleur ami Lenny, brillant maître du barreau,  lui-même,  lui conseille de tourner la page et pourtant, il aime l’enfant dont il est le parrain – et puis, il est père lui aussi,  il voudrait simplement que son ami puisse enfin se remettre à vivre.

 

Avec Rachel, un amour de jeunesse, ex-membre du FBI ayant démissionné suite au suicide de son époux dont elle a été considérée comme moralement responsable, Marc Seidman  remue ciel et terre pour retrouver cette toute petite fille qui, il en est persuadé, est toujours en vie.

 

La fin de l’histoire sera une révélation totalement inattendue. Beau rebondissement, très « à la Harlan Coben ».

 

Si Harlan Coben n’avait pas mêlé la « filière du Kosovo » et les prostituées des pays de l’est dans son histoire, j’aurais applaudi à deux mains à ce thriller haletant, qui dans son ensemble m’a plu, moi qui avais pourtant dit que je ne lirais plus un bouquin de Coben qui, il faut quand même le dire, réécrit sans cesse la même histoire depuis « Tell No One » (« Gone for good », par exemple, est un véritable « copié/collé » de « Ne le dis à personne »).

Ici, l’histoire parvient à être (presque) différente des deux autres - et puis, ce livre était dans ma PAL.

 

Comme en ce moment je suis « en panne » de lecture (dit la fille qui a une PAL de 400 bouquins !), j’ai pioché au hasard et j’ai été assez agréablement surprise par la manière dont le livre démarre – ensuite, hélas l’auteur est tombé dans le travers d’y mêler les pays de l’est et tous leurs  chapelets de dramaturgie pathétique (et ceci n’est pas dit pour me moquer de ce qui s’est passé là-bas).

 

Mais on en a tellement lu et vu au cinéma de cette « filière » de l’est que, sincèrement, cela devient redondant et « gonflant ». Ceci n’engage que moi évidemment comme jugement.

 

Néanmoins, l’un dans l’autre, ce polar musclé m’a plu – je peux à présent passer à autre chose, car Harlan Coben, comme Douglas Kennedy, fait partie des auteurs qui ne m’intéressent plus vraiment.

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Commentaires
N
tu as entièrement raison, j'ai trop de bouquins, je ne sais jamais par lequel commencer ;o)))<br /> si tu n'as jamais lu coben, c'est un bon livre pour commencer :o)
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E
plus on en a, moins on sait quoi choisir ;o))<br /> <br /> Je n'ai jamais trop lu Coben, mais le résumé que tu fais de l'histoire me tente bien;
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N
c'est assez rare que j'abandonne un bouquin, mais quand il ne me plaît pas, je lis en diagonale - quand je suis en panne de lecture, c'est surtout que je ne sais pas par lequel commencer dans cette vilaine pal :(
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M
Moi, je ne finis pas un livre quand je suis en panne de lectures. cela dit, il y a des années que ça ne m'est plus arrivé ouf !
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N
c'est parce qu'il était dans ma pal que je l'ai lu, car j'ai suffisamment d'autres choses à lire pour ne plus avoir envie d'acheter encore un coben - et comme toi, après "gone for good", j'en ai vraiment eu assez de cet auteur
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