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mon bonheur est dans la ville
23 juillet 2009

THE MAD COURTESAN, d'Edward Marston

685_1890208833_01Cette 5ème aventure de la troupe de théâtre The Westfield Men m’a paru quelque peu plus confuse que les épisodes précédents. De multiples personnages se croisent et s’entrecroisent sans que l’on sache très bien où tout cela nous mène...

Très certainement, en tout cas, sur les planches du théâtre autant que dans les coulisses du pouvoir politique.

Elisabeth Ière étant au plus mal, du moins est-ce le bruit qui court à Londres, les troupes ennemies des Westfield’s Men et des Branbury’s Men se livrent à des joutes théâtrales sans merci pendant que dans l’ombre, leurs mécènes livrent bataille avec les hommes de pouvoir, la Reine Vierge n’ayant pas nommé de successeur au trône.

Pendant ce temps, Nicholas Bracewell, le séduisant et talentueux régisseur, fidèle à la promesse faite à la famille du défunt, recherche l’assassin (ou les assassins) de son ami, Sebastian Carrick, prometteur acteur de la troupe, jeune homme d’apparence très convenable mais hélas aussi peu scrupuleux, ce qui lui a valu quelques ennemis dans la ville.

Les autres membres de la troupe des Hommes de Westfield sont pareils à eux-mêmes, et surtout leur acteur/directeur principal, Lawrence Firethorn, toujours prompt à courir le guilledoux en l’absence de la formidable Margery, son épouse.
Cette fois, le joli minois appartient à la superbe et ô combien mystérieuse Beatrice Capaldi, et l’engouement de Firethorn menace l’existence même de sa troupe.

Par ailleurs, la haine que se portent respectivement les acteurs/directeurs des 2 troupes s’exacerbe au fil du récit et Bracewell aura vraiment besoin de toute sa patience et son savoir-faire pour maintenir sa troupe unie tout en recherchant l’assassin de son ami.

Quelques moments amusants traversent le livre grâce au cheval Nimbus et son peu scrupuleux, mais talentueux dresseur, Cornelius Gant ; ensemble ils forment une équipe de baladins très au point.

J’avoue avoir eu besoin de patience pour aller au bout de cette histoire à cause de la confusion que j’éprouvais à ce récit-ci. Toutefois la forme d’écriture reste superbe.

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