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mon bonheur est dans la ville
23 juillet 2009

SOCIAL CRIMES, de Jane Stanton Hitchcock

512K8KKXAEL__AA240_Etrange histoire que cette vengeance d’une jeune femme de la société huppée newyorkaise, dont l’époux infidèle lègue absolument toute sa fortune, jusqu’à son dernier cent, appartement sur Park Avenue et maison à Southhampton compris à sa maîtresse, une comtesse française, opportuniste et manipulatrice.

 

 

 

L’épouse bafouée et lésée n’aura de cesse que de faire en sorte que sa rivale – qui recherche pourtant son amitié – se retrouve à son tour ruinée ; mais la vengeance laisse toujours un goût très amer en bouche et lorsqu’elle parvient enfin à se débarrasser de l’objet de sa haine, par un stratagème habile qui trompe tout le monde, l’ex-riche et célèbre Jo Slater redevient enfin la femme riche et adulée qu’elle était mais avec une forte impression de vide.

Tout cela se passe avec un collier ayant appartenu à Marie-Antoinette en guise d’objet de convoitise, en plus de toute la fortune disparue.

 

Le roman qui tient plus du thriller que du polar se meut dans la très riche société newyorkaise avec ses côtés artificiels, superficiels où l’on n’est personne si on n’est de naissance modeste, où les femmes ne se jugent qu’en fonction de la grosseur des diamants qu’elles portent ou des robes signées par les plus grands couturiers, bref c’est Jackie Kennedy Onassis chez les « riches et célèbres », et l’ensemble est déplaisant.

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