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mon bonheur est dans la ville
22 juillet 2009

VISIONS IN DEATH, de J.D. Robb

51PH2YMEB5L__AA240_Un nouvel épisode des enquêtes,  situées dans le futur, d’Eve Dallas, lieutenant dans la police de New York et de Delia Peabody désormais détective à part entière, s’impliquant plus dans les enquêtes.

Sa relation avec Dallas prend un tournant légèrement plus personnel, si tel était possible, car la jeune femme se décide enfin à confier son lourd passé à la petite détective qui en est horrifiée, elle qui a toujours eu une enfance aimée et protégée.

Par ailleurs, Delia Peabody (et le lecteur avec elle) s’amuse encore et toujours à faire piaffer son Ian McNab quant à sa relation avec Charles, l’escort man dont elle est l’amie.

Dans cette aventure, le lieutenant Dallas doit découvrir qui est à l’origine d’horribles crimes sur des jeunes femmes, au point que la presse commence déjà à parler de « serial killer ». Les victimes sont disposées selon une sorte de rituel, ce qui fait penser à un maniaque religieux.

Une jeune medium vient proposer ses services à la détective qui n’y croit que très modérément ; cette jeune femme prétend « voir » les crimes en rêve juste avant qu’ils ne se produisent. Dallas reste particulièrement sceptique, toutefois la police ayant déjà fait appel à ce type de personne, Dallas tente de faire taire sa méfiance et accepte une aide « partielle ». Cependant, lorsque son amie et partenaire de travail, la gentille Peabody est à son tour agressée par le tueur, Dallas et son multi-millionnaire de mari, le très séduisant Roarke, se lancent dans la bagarre finale.

Comme toujours, on retrouve les personnages récurrents à chaque enquête ainsi que les « acteurs » de l’enquête en cours. Le livre est un dosage sympathique d’humour et de frissons, cependant J.D. ROBB semble montrer quelques signes de faiblesse, ce qui n’est pas réellement surprenant au bout d’une vingtaine de livres dans une même série. De toute façon, il ne faut guère chercher de grandes théories philosophiques dans les romans de J.D.Robb, ces livres sont d’agréables moments de détente sans plus.

Quant à sa description du New York « futuriste », il présente bien des similitudes avec notre époque contemporaine, il est vrai que le premier roman date des années 80, on peut donc se dire qu’à ce moment-là ses descriptions des costumes et objets paraissaient plus futuristes qu’actuellement. Sa vision de ce que deviendront les aliments, par exemple, est assez inquiétante mais plutôt réaliste.

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