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mon bonheur est dans la ville
1 mai 2020

THE LOST SYMBOL, de Dan Brown

symbole

Titre français = le Symbole Perdu

3ème aventure du professeur Robert Langdon dans la pentalogie qui lui est consacrée

Le professeur d’université et symbologue Robert Langdon est appelé un dimanche par l’assistant de son grand ami Peter Solomon, richissime bienfaiteur et lui aussi versé en symboles, surtout maçonnique. Il lui est demandé de remplacer au pied levé un conférencier au Capitole, à Washington, en apportant un petit paquet dont il a la garde depuis longtemps.
On lui envoie un jet privé et une limousine tout aussi privée pour arrivé au Capitole à l’heure.

Là, il comprend qu’il a été trompé – il n’y a absolument aucun séminaire sur les symboles d’aucune sorte – tout était un piège pour l’attirer à Washington ; il apprend avec effroi que son ami a été enlevé par un personnage qui se fait appeler Mal’akh – en hébreu cela signifie « ange », mais cet ange-ci est un génie du mal qui refuse que les humains deviennent intelligents, il les méprise et lui, et lui seul, a le droit d’accéder à la connaissance suprême.
Peter Solomon est en son pouvoir, il lui a d’ailleurs coupé la main pour le prouver et cette main est en plein milieu du Capitole, comportant des symboles que Langdon est capable de déchiffrer ce qui énerve la directrice des services spéciaux de la CIA qui lui est tombée dessus.
Si Robert Langdon ne confie pas ce qu’il sait et qu’il possède, son ami mourra.
Mal’akh a aussi l’intention de tuer la sœur de Solomon, qui s’intéresse à la noétique, science où physique et philosophie se mêlent.
Seulement voilà, la directrice du bureau de la sécurité de la CIA (une CIA au sein de la CIA en quelque sorte) a eu vent de l’affaire, via ledit Mal’akh et elle veut aussi ce que possède Langdon.
Ce dernier est bien conscient d’avoir un petit paquet mais il en est simplement le gardien temporaire, il en ignore le contenu.

La directrice, véritable pitbull en jupons, ne le croit pas ; suite à l’intervention d’un architecte franc-maçon, travaillant au sein de la bibliothèque du Capitole, le professeur échappe temporairement à l’enragée bonne femme (tout le monde en a peur, y compris et surtout ses collaborateurs).
Bref, Robert Langdon a un psychopathe sur la bosse qui détient son meilleur ami et veut le petit paquet ; il a une psychopathe légale sur la bosse qui veut aussi le petit paquet ; il doit tenter de sortir des griffes de tout le monde, sauver son ami et la sœur de cet ami. Pas mal pour un dimanche !

Mon avis – thriller haletant, dont l’action se focalise sur une seule journée, mais quelle journée !

Ma  petite chronique assez imparfaite car comme tous les romans de Dan Brown = le livre est un pavé de plus de 500 pages, dont le contenu tourne autour d’un symbole franc-maçon, ce qui est intéressant, mais souvent très pointu et surtout extrêmement touffu.

Bien que je ne raffole pas des pavés, celui-ci avance assez bien car le vocabulaire anglais-américain est réellement très simple, les phrases sont courtes – pas mal de dialogues – et les chapitres sont courts également.
Ce qui m’a bien amusée a été de lire les commentaires d’autres lecteurs/lectrices dans le groupe anglophone « goodreads » (un babelio anglo-saxon) – beaucoup d’entre eux/elles disent ne pas supporter les livres de Dan Brown parce que le type ne sait pas écrire, son vocabulaire est nul, etc. Evidemment, ce n’est pas du Shakespeare, bien au contraire. Mais ces mêmes mécontents disent aussi que dès qu’ils entament un des livres de cet auteur, ils n’arrivent plus à le lâcher.

En cours du roman on en apprend plus sur ce Mal’akh, comment il en est arrivé à choisir ce nom et surtout qui il est en réalité.
Un rebondissement que j’avais rapidement compris, mais  cela ne gâche pas la lecture.

En ce qui me concerne, comme j’aime beaucoup les symboles, j’avais envie de cette lecture et elle ne m’a pas déçue par son rythme, mais je reconnais que bien souvent toutes les explications sur certains symboles me sont passées par-dessus la tête.
J’ai été plutôt passionnée à l’idée de découvrir comme Robert Langdon allait se dépêtrer des griffes de la directrice de la CIA, lutter contre le psychopathe qui détient ses amis et sauver ceux-ci.

Anecdotes = A l’origine le livre a été publié sous le titre « The Solomon Key » (la Clé de Salomon), ce qui était assez adéquat puisque l’un des personnages principaux a pour patronyme « Solomon » et qu’il possède un petit objet qui est une clé pour un objet symbolique.

C’est aussi le seul roman de Brown où le tueur et le commanditaire sont une seule et même personne, au contraire des autres romans où le tueur travaille pour un commanditaire.

Je ne m’étonne plus  que Ron Howard, le réalisateur des films autour des autres romans de Dan Brown ait renoncé à faire un film à propos de celui-ci, car il aurait fallu sabrer dans les détails et ce sont eux qui forment l’histoire.

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Equerre-et-compas-Masonique

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Commentaires
A
Je n'ai lu que le "Da Vinci Code" de lui, qui ne m'a pas franchement convaincue. Je n'ai pas été tentée de continuer.
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T
Bravo, tu l'as terminé !! ;)
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S
Eh bien je n'ai jamais lu Dan Brown... et je n'ai pas bien envie... Mais je vois que tu es sur Goodreads !!
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