MOURIR POUR LEONARD, de Christian Jacq
Londres et la National Gallery se préparent à l’exposition du siècle sur «Leonard de Vinci ». Même la Joconde s'est déplacée, c'est vous dire l'importance !
Alors que l’exposition est sur le point de s’ouvrir, un expert sur la peinture du grand Vinci a jeté un pavé dans la mare en annonçant une révélation qui bouleversera le monde de la peinture de Leonardo da Vinci ! Et peu après, il est assassiné !
Scott Marlow, chargé de l’organisation et de la surveillance de l’exposition, est catastrophé – cet assassinat à 2 jours à peine de l’ouverture – et il est probable que l’expert allait dénoncer un faux parmi les œuvres du maître…
Il fait donc appel à l’ex-inspecteur Higgins.
Plusieurs suspects = un jeune critique artistique qui ne cachait pas son mépris pour l’expert ; une jeune aristocrate italienne, qui fut pendant un temps la disciple de l’expert ; un amateur d’art américain, prêt à acheter une œuvre de Vinci à n’importe quel prix ; un transporteur d’objets d’art ayant commis une erreur au cours d’un transport et que l’expert avait dénoncé dans un article de presse, ce qui porta préjudice au transporteur.
Des clairs-obscurs et des trompe-l’œil, à la manière du célèbre peintre.
Comme toujours, beaucoup de suspects et une enquête qui piétine au désespoir du superintendant Marlow qui se voit déjà mis à la retraite anticipée.
Assez curieusement, tous les suspects habitent dans le quartier élégant où l’expert assassiné avait sa propriété ; ils n’avaient donc pas loin à aller entre leur domicile et les lieux du crime.
Une fois encore, Higgins va dévoiler les secrets de tous et les réunir (à la manière d’Hercule Poirot) afin de donner le nom de l’assassin.
Que je n’avais pas deviné.