relecture
Version llustrée par Arthur Rackham
Alice, gracieuse rêveuse, n’aime pas les livres sans image et trouve que l’étude est chose assez ennuyeuse. Elle préfère laisser libre cours à son imagination avec sa jolie chatte Dinah.
Je ne vais pas réécrire la petite chronique que j’avais publiée il y a un an environ (ici) – mais, entretemps, j’ai eu l’immense plaisir de découvrir la version illustrée par Arthur Rackham - et ça, vous n’en disconviendrez pas, je ne pouvais absolument pas le rater.
Pour l’histoire je vous propose donc de vous en remettre à vos versions du roman de Lewis Carroll. Ma chronique du jour n’est faite que pour partager avec vous quelques-unes de ces superbes illustrations – uniquement hélas pour « Alice’s Adventures in Wonderland », je n’ai pas trouvé la suite « Through the Looking Glass », sinon vous pensez bien que j’aurais sauté dessus à pieds joints (figure de style = je ne saute pas sur les livres).
Les illustrations du grand Arthur Rackham sont absolument magiques (vous ai-je déjà dit à quel point je l’admire et adore ses dessins et peintures ?) – il a non seulement capté toute la poésie du texte de Lewis Carroll, mais y a ajouté la légère touche d’absurdité nécessaire au texte. Et son Alice est l’une des plus gracieuses qui soient. Le rêve de ma vie = dessiner comme lui (tu en es loin ma fille !)
rencontre avec le lapin blanc
la course du dodo
une folle journée de non-anniversaire
le bébé-cochon
le tribunal de la reine de coeur
the cheshire cat